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Je reste dans l'ombre pour ne plus subir
Je reste dans un coin sombre pour ne plus souffrir !
Pourpouvoir simplement vivre
Une vie qui était pleine de dureté et de méchanceté
Je pensais que s'aller s'arrêter ?
Pensez vous ils continuent
Je me cache pour ne pas que cette histoire se sache !
Je me protége des flèches qui sont envoyées dans mon
cœur ?
À cause des gens malsains et jaloux de mon bonheur !
Je regarde et je ne dis rien ?
Mais je souffre de ne pouvoir dire que du bien
Mais je ne peux pas je suis bloquée !
À cause des gens qui ne cesse de me surveiller !
Vous croyez que ça me plait ?
De vivre à l'écart je m'éloigne et je me lasse
Car la vie est courte et les jours passent
Mais cette douleur augmente chaque jour
Et je n'en vient pas à bout !
Je passe des nuits et des jours à écrire !
Et après je vais me relire
Je vais me décrire et je vais surtout me détruire
Et je ne veux pas nuire
Le peu que j'ai ils me déchirent
Et vous connaissez la suite
Je suis un parasite ...............
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Tu es si beau sur ton lac
Tu ne dis rien tu regardes
Je suis entrain d'écrire par terre
Mais le vent efface tout
Ça va en l'air
Je vais écrire ton prénom sur l'arbre
Nestor !
Tu es d'accord mais l'écorce est fine
Il faut que je devine !
Ce n'est pas bien long ce prénom faut-il
encore qu'il tienne je sculpte !
Je serais ravie que ça tienne cette écriture !
Ça sera indestructible
Si c'est un crime d'écrire je suis une victime !
Oh! tu ne vas pas être content ton bec est à
l'envers !
Et bien de travers laisse moi faire !
Je ne peux pas savoir où ta vie commence !
Tu ne peux pas savoir où elle s'arrête !
La seule fiable celle qu'elle continue
C'est pire qu'une romance !
La solitude je la connais !
C'est une blessure qui ne guérie jamais
C'est aussi une peur
Mais toi tu as l'habitude depuis des années je
te vois seule sur ton lac !
Au moins tu es au calme ..........
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Avant que tout éclate en morceaux !
J'aimerais écrire dans ta main
Un tout peit poème
Sur le bout du doigt
Un petit poème mielleux
Un peu lumineux
Regarde la fleur monter en graine
Il va y avoir de la poussière
Il faut tout détruire en miettes
Et ça va voltiger
Revenir échouer
Sur une plage loin de tout avec une
grande tranquillité ?
Se demander pour la millième fois
Jusqu'où peut-on aller au plus loin de
la vallée ?
Ou je vais à pieds pour ne pas déranger
Au risque de me perdre
Cette boussole qu'un étranger m'a donné
Sur le chemin de écoliers
Depuis je ne l'ai plus retrouvé
Il est parti dans l'Allier
J'ai essayé de le joindre plusieurs fois
mais il ne répond jamais ........
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J'aimais ton sifflement
Chaque jour en me levant
Qui m'apportait tellement de joie
Malgré toute la souffrance
Tu venais de très loin mais quelle
importance !
Tu bousculais tout ce que j'avais dans
ma conscience !
Ton chant ressonait dans les bois et dans
la Provence !
Parfois je m'imaginais déjà en haut de ton
arbre et quelle élégance !
Tous les oiseaux du coin venaient écouter
les symphonies mais en silence !
Nous avons du respect pour toi dés ma plus
tendre enfance !
Parfois j'écoutais nuits et brouillard enfermait
dans mon innocence !
J'ai compris beaucoup plus tard nul ne guérit de
son enfance !
Tu sifflais pour tous les bois environnants avec un
chant d'une insolence !
Mais celà n'était guère important tu était humain
jusqu'à la transparence!
Le soleil brillait mais nous étions en confidence
Dans le fond que serais-je sans toi voilà le
Mais le rouge-gorge n'en revient pas de ces
mélodies qui s'élancent !
Le roitelet s'en mêle dans les montagnes et dans
les plaines vous vous défendez tous ensembles !
Ca va finir en orchestre philharmonique quelle joie
immense !
Avec un festival de plumes de tout genre
Qui scintillait de partout qu'elle beauté exceptionnelle
je ne le reverrais qu'une fois dans mon adolescence !
Et vous amez la persévérance je tire ma révérence .......
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Oh! comme les oiseaux sont joyeux
Ils maraudes et pillent
À la fin de leurs ballets ils s'éparpillent
Je ne prends pas un couteau pour d'écrire
Une plume c'est plus harmonieux
Et en plus ça dessine
Ce spectacle est délicieux
Mais seulement par le biais des photos
c'est merveilleux ?
J'en ai pleins les yeux quand je veux
Des ailes douces qui circulent
Tournoyants dans les cieux
J'ai le droit de voir le plus beau concert
Il n'était pas loin de minuit
Ils me les ont offerts
Dans un petit coin de paradis
Où il fait bon vivre
Ce Verdon par toute sa beauté
Joue une mélodie endiablée
Je n'en peux plus j'ai besoin de rêver
Cette belle parade
Au reflet floral
Je ne peux qu'être contente à des sifflements
mélodieux !
Ils nous jouent un canon non
Des amours d'oiseaux
Sont ceux de tous les amoureux
Il se trouve leur Roméo et leur Juliette
Et bien entendu l'appareil qui est net et
clair merci mister Bodin ........
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